Marie-Edith Alouf a un « stylo rouge mental » qu’elle ne range jamais dans sa trousse. Je pense que c’est le cas de tous les traducteurs un peu consciencieux, à observer les réactions des quelque 70 courageux qui ont bravé la neige, un samedi matin qui plus est, pour aller écouter des règles typographiques obscures à l’étage d’un café parisien.
La preuve, mes poils se hérissent quand je rencontre ça au pied de mon immeuble :
Du coup, j’en profite pour inaugurer une nouvelle catégorie : « Vu dans la rue ». Si vous repérez des énormités au coin de votre rue, n’hésitez pas à m’envoyer la photo : laurent@anothertranslator.eu, et je la publierai dans cette série.
Bonnes fêtes !